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DOROTHY HOOD (1918-2000)

 
Lorsque Dorothy Hood peint Genies en 1956, elle explore de nouveaux territoires, développant diverses méthodes et un vocabulaire de formes organiques tirées de ses observations de la nature et du corps humain. Indépendamment de leur nature ambiguë et transformatrice, les éléments abstraits et figuratifs s’engagent dans une interaction dynamique, tissant ensemble, entrelaçant et fusionnant les identités au sein d’une soupe métaphysique. Plutôt que la stase formelle d’une tapisserie tissée, dans Genies, l’abstraction respire, s’étire et s’écoule dans un champ d’énergie de vrilles sinueuses en forme de ruban. C’est une œuvre qui incarne une fusion de l’abstraction et du surréalisme. Sa profondeur de champ implicite, sa perspective et ses références figuratives suggèrent une femme dont le corps voûté imprègne l’œuvre d’une profondeur émotionnelle, psychologique ou mythologique. Ces éléments capturent l’essence complexe de la position et de la situation d’une femme, confondant efficacement les frontières entre deux mouvements artistiques distincts. Lorsque Dorothy Hood peint Genies en 1956, elle explore de nouveaux territoires, développant diverses méthodes et un vocabulaire de formes organiques tirées de ses observations de la nature et du corps humain. Indépendamment de leur nature ambiguë et transformatrice, les éléments abstraits et figuratifs s’engagent dans une interaction dynamique, tissant ensemble, entrelaçant et fusionnant les identités au sein d’une soupe métaphysique. Plutôt que la stase formelle d’une tapisserie tissée, dans Genies, l’abstraction respire, s’étire et s’écoule dans un champ d’énergie de vrilles sinueuses en forme de ruban. C’est une œuvre qui incarne une fusion de l’abstraction et du surréalisme. Sa profondeur de champ implicite, sa perspective et ses références figuratives suggèrent une femme dont le corps voûté imprègne l’œuvre d’une profondeur émotionnelle, psychologique ou mythologique. Ces éléments capturent l’essence complexe de la position et de la situation d’une femme, confondant efficacement les frontières entre deux mouvements artistiques distincts. Lorsque Dorothy Hood peint Genies en 1956, elle explore de nouveaux territoires, développant diverses méthodes et un vocabulaire de formes organiques tirées de ses observations de la nature et du corps humain. Indépendamment de leur nature ambiguë et transformatrice, les éléments abstraits et figuratifs s’engagent dans une interaction dynamique, tissant ensemble, entrelaçant et fusionnant les identités au sein d’une soupe métaphysique. Plutôt que la stase formelle d’une tapisserie tissée, dans Genies, l’abstraction respire, s’étire et s’écoule dans un champ d’énergie de vrilles sinueuses en forme de ruban. 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Ces éléments capturent l’essence complexe de la position et de la situation d’une femme, confondant efficacement les frontières entre deux mouvements artistiques distincts. Lorsque Dorothy Hood peint Genies en 1956, elle explore de nouveaux territoires, développant diverses méthodes et un vocabulaire de formes organiques tirées de ses observations de la nature et du corps humain. Indépendamment de leur nature ambiguë et transformatrice, les éléments abstraits et figuratifs s’engagent dans une interaction dynamique, tissant ensemble, entrelaçant et fusionnant les identités au sein d’une soupe métaphysique. Plutôt que la stase formelle d’une tapisserie tissée, dans Genies, l’abstraction respire, s’étire et s’écoule dans un champ d’énergie de vrilles sinueuses en forme de ruban. C’est une œuvre qui incarne une fusion de l’abstraction et du surréalisme. 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Génies195635 1/2 x 45 3/8 po.(90.17 x 115.25 cm) huile sur toile
Provenance
Collection de Harold A. Coffmann, Cedar Hill, Texas
Vente aux enchères du patrimoine, 2 novembre 2019
Collection privée, Texas
Exposition
Texas, Dallas Art Fair 2023 : Stand de la galerie McClain, 20 avril - 23 avril 2023
Lorsque Dorothy Hood peint Genies en 1956, elle explore de nouveaux territoires, développant diverses méthodes et un vocabulaire de formes organiques tirées de ses observations de la nature et du corps humain. Indépendamment de leur nature ambiguë et transformatrice, les éléments abstraits et figuratifs s’engagent dans une interaction dynamique, tissant ensemble, entrelaçant et fusionnant les identités au sein d’une soupe métaphysique. Plutôt que la stase formelle d’une tapisserie tissée, dans Genies, l’abstraction respire, s’étire et s’écoule dans un champ d’énergie de vrilles sinueuses en forme de ruban. C’est une œuvre qui incarne une fusion de l’abstraction et du surréalisme. Sa profondeur de champ implicite, sa perspective et ses références figuratives suggèrent une femme dont le corps voûté imprègne l’œuvre d’une profondeur émotionnelle, psychologique ou mythologique. Ces éléments capturent l’essence complexe de la position et de la situation d’une femme, confondant efficacement les frontières entre deux mouvements artistiques distincts.
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